Fondée en 1897 et bâtie sur des valeurs fortes, Montpellier Business School propose aux talents Français et Internationaux uniques par leur diversité et leur parcours la formation d'excellence d'une Grande Ecole de Management française reconnue internationalement.
Choisir MBS c'est vouloir devenir un acteur responsable dans un monde qui change.
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Le Programme Bachelor of International Business Administration (BIBA) est un diplôme de niveau L (Bac+3) dispensé en 3 ans, visé et reconnu par l’Etat (RNCP niveau II), accrédité AACSB et labellisé EESPIG : un choix qui prépare l’avenir dans l’une des meilleures Business Schools européennes.
Accrédité AACSB, EQUIS et AMBA, le programme Grande Ecole de Montpellier Business School délivre un diplôme visé avec le Grade de Master.
Intégrer le Programme Grande Ecole de Montpellier Business School c’est choisir de développer ses talents et son expertise pour devenir acteur d’un monde qui change.
Chaque entreprise a des besoins spécifiques auxquels Montpellier Business School apporte des réponses adaptées, grâce à une équipe dédiée aux services aux entreprises, pour initier et faire vivre d’authentiques partenariats.
La garantie d'excellence d'une Faculté de premier plan.
Montpellier Business School forme tous les talents qui la rejoignent pour devenir des acteurs responsables dans un monde qui change et les aider à faire la différence.
Face à la crise sanitaire qui fragilise économiquement les étudiants, votre soutien est plus que jamais nécessaire. En versant votre taxe à MBS vous œuvrez en faveur de l’ouverture sociale et de l’égalité des chances pour tous.
La COP2 Etudiante aura lieu le 10 et 11 avril prochain à Grenoble. Elle réunit les étudiants, les professeurs, les associations et les professionnels de l’enseignement supérieur de toute la France afin de discuter et définir un calendrier d’actions communes et coordonnées pour répondre à l’urgence climatique et accélérer la transition écologique.
Près de 600 établissements sont invités à répondre à la problématique suivante : « comment enseigner la complexité des enjeux écologiques et leur transdisciplinarité aux étudiants et enseignants dans toutes les filières ? »
Comment MBS se mobilise pour l’événement ?
Alignée avec son plan stratégique d’œuvrer pour une transition écologique responsable, MBS sera représentée lors de la COP2Etudiante par Iris Cassagne et Laure Socquet-Juglard, deux ambassadrices étudiantes également membres de l’association Gaïa de MBS.
Ensemble, elles réunissent depuis janvier un groupe de travail de 12 membres représentatifs de l’ensemble de la communauté de MBS (Etudiants, collaborateurs et Enseignants-Chercheurs) et axent les débats autour de deux objectifs : former à travers les enseignements et la recherche aux enjeux climatiques et écologiqueset construire le campus de demain.
« Ces deux missions font sens avec les priorités actuelles de l’école qui souhaite renforcer l’intégration de l’analyse de l’impact environnemental dans l’ensemble de ses disciplines et travaille parallèlement à la construction de son futur campus écoresponsable à Cambacérès » explique Benjamin Ferran, Responsable RSE de MBS.
5 axes de travail pour l’accord de Grenoble
Au cours des six sessions de travail, le groupe piloté par Gaïa débat et propose des actions concrètes en structurant leur stratégie autour de 5 axes :
L’organisation d’une « rentrée climat» pour les étudiants et le personnel de l’école afin de créer un socle de connaissances communes
Comment renforcer l’intégration des enjeux climatiques dans l’ensemble des enseignements
Comment décloisonner les savoirs en multipliant les partenariats avec d’autres experts et écoles
Comment mieux former et sensibiliser les enseignants et collaborateurs afin de fédérer une communauté interne autour de ces enjeux
Cocréer un programme d’enseignement dédié à la problématique en consultant les étudiants et les partenaires
« Le contenu réalisé par chaque groupe de travail en France sera disponible sur une plateforme collaborative en ligne. Ce travail permettra à la COP2 Etudiante d’alimenter l’Accord de Grenoble présenté lors de la rencontre en Avril. » expliquent Iris et Laure.
A MBS une démarche collaborative pour façonner les programmes autour des enjeux de la transition écologique
La rentrée 2020 de MBS concrétisait déjà l’ambition de l’école d’œuvrer pour une transition écologique responsable avec notamment la coorganisation des Rencontres du développement durable. L’école marquait le point de départ de ces Rencontres et avait axé sa journée autour du thème majeur « Transformer le capitalisme ». Pour voir le replay des débats, rendez-vous ici.
Enfin, pour mener à bien quotidiennement cet engagement, le Sustainability Lab rassemble chaque service de l’école afin de partager et valoriser les bonnes pratiques et renforcer l’intégration du développement durable dans les formations et la recherche. « Nous avons créé le Sustainability Lab afin de poursuivre et développer cette démarche collaborative et façonner les programmes autour des enjeux de la transition écologique. » explique Dr Helen Etchanchu, Enseignante Chercheuse au sein de Montpellier Business School et Coordinatrice du Sustainability Lab.
Aménagement du campus, réduction des déchets, valorisation des transports écoresponsables, ou encore organisation d’ateliers et conférences dédiés, le Lab participe à la mise en œuvre d’un dispositif solide et est le garant des indicateurs de performances en matière de développement durable et responsabilité sociétale à MBS.
MBS Junior Conseil, le cabinet de conseil piloté par les étudiants de MBS
MBS Junior Conseil est une Junior Création affiliée à la Confédération Nationale des Junior-Entreprises qui accompagne les entrepreneurs, PME, collectivités, Start up et Grandes Entreprises dans l’ensemble de leur problématique : digital Business, marketing, RH, RSE, événementiel, stratégie internationale…
Parallèlement, l’association organise également cette année des webinars dédiés à la découverte de personnalités inspirantes à destination des étudiants. « Dans ce contexte difficile, il est important de multiplier les démarches de connexion pour aider les étudiants à rester motivés à poursuivre leurs ambitions. » explique l’équipe organisatrice de MBS Junior Conseil.
Que retenir de ce premier webinar ?
Pour ce premier webinar, MBS Junior Conseil recevait Monsieur Delafosse, Maire de Montpellier. Un échange de questions-réponses avec les étudiants sur sa vie en tant que père de famille, professeur d’histoire-géographie et Maire de Montpellier, a permis une conclusion positive sur cette première expérience de séminaire en ligne.
L’objectif de cet entretien était de dégager quelques conseils pour aider les étudiants à bien appréhender leur carrière professionnelle. « Au cours de ce webinar, M. le maire a encouragé les étudiants à prendre des initiatives malgré la crise et les résistances auxquelles ils pourront se heurter, et à valoriser leurs échecs en les utilisant comme source d’apprentissage. » expliquent Sébastien, Cécile et Mickael de l’association. « Un autre conseil véhiculé auprès des étudiants de MBS était de suivre les évolutions du monde afin d’anticiper les métiers de demain. Ville verte, circuit court, transports innovants, les étudiants doivent saisir cette opportunité de devenir les experts de la transformation écologique des entreprises et de la société. »
Pour contacter MBS Junior Conseil et découvrir les prochains webinars :
Air France parrainait cette nouvelle édition sous le signe de la transition environnementale du secteur aérien
La semaine dernière, le business game rassemblant les 800 apprentis de dernière année du Programme Grande Ecole était de retour afin de développer leur goût d’entreprendre et leur donner une nouvelle opportunité de mettre en application leurs compétences RSE devant un jury composé de la Direction d’Air France et des experts de MBS.
Pour cette nouvelle édition, les apprentis ont eu comme défi de créer un business model visant à accélérer la transition environnementale du secteur des transports aériens. Encadrés par les Enseignants-Chercheurs et les coachs experts de l’incubateur, les étudiants ont dû toute la semaine imaginer et prouver que leur idée avait bien un marché, qu’elle était faisable et viable en termes d’impact environnemental, sociétal et financier.
« En tant que Grand Partenaire de MBS, nous sommes fiers de prendre part à ce nouveau challenge avec les étudiants et de leur donner la possibilité d’exprimer leur créativité et leurs compétences en matière d’innovation et de développement durable. » témoigne Anne Rigail, Directrice Générale d’Air France.
La Battle finale de pitch : qui sont les grands gagnants ?
A l’issue de la semaine a eu lieu la grande finale opposant les cinq meilleurs projets entrepreneuriaux des étudiants. « Leur créativité et leur analyse du secteur ont permis une grande diversité dans les projets, permettant d’offrir un large panel de solutions pour une gestion plus écologique, allant du recyclage de la flotte en valise, à une meilleure exploitation de la chaîne de l’eau, en passant par un kit d’hygiène long courrier 100% naturel et recyclable pour lutter contre le plastique. » explique Dr. Paul Chiambaretto Enseignant-Chercheur spécialiste du secteur et titulaire de la Chaire Pégase.
Un projet s’est toutefois démarqué des autres. « Le groupe qui a remporté le challenge a su cibler une des urgences sur lesquelles nous travaillons activement aujourd’hui qui est la réduction de consommation de kérosène et donc des émissions de CO2. » témoigne Anne-Sophie Le Lay, Secrétaire générale d’Air France KLM.
« Nous sommes partis de la célèbre combinaison en polyuréthane, bannie des Jeux Olympiques de natation et connue pour diminuer les frottements des nageurs avec l’eau. Nous avons ainsi créé Sky Dynamics, un éco-lubrifiant pour réduire les frottements de l’air et diminuer la consommation en kérosène de l’appareil. » explique Fiona, finaliste et porte-parole du groupe gagnant n°44. « Après avoir calculé les coûts de production, la quantité nécessaire pour un revêtement intégral, et l’entretien des appareils, nous avons pu construire un Business Model viable, écologique et rentable dès avril 2022. » conclut l’étudiante.
Une histoire à suivre au sein de l’incubateur
Pour tous les étudiants qui auraient pris goût à l’entrepreneuriat, Dr. Annabelle Jaouen, Directrice de l’Entrepreneurship Center rappelle que leurs projets sont les bienvenus au sein de l’incubateur de MBS. « Pré-incubation, incubation, accélération, coaching personnalisé : l’incubateur est ouvert à tous les étudiants ou alumni qui ont un projet avec une dimension responsable. »
Un Business Game pour développer le goût d’entreprendre
Le 5 janvier marquait le lancement de la Start-Up Week de Montpellier Business School (MBS), une 7e édition 100% en ligne organisée par l’Entrepreneurship Center de l’école. Ce Business Game par équipe immerge les 800 apprentis de dernière année du Programme Grande Ecole au défi de la création d’entreprise.
« Nous avons formé les équipes afin de mixer les spécialisations et les compétences. Déjà professionnels au sein de leur entreprise d’accueil, les étudiants ont ici une nouvelle opportunité d’exprimer leur expertise pour développer ensemble le goût d’entreprendre dans un contexte économique qui pourrait à première vue les freiner. » explique Dr. Annabelle Jaouen, Directrice de l’Entrepreneurship Center.
Air France est le parrain de cette nouvelle édition
Encadrés par les Enseignants-Chercheurs et les coachs experts de l’incubateur, les apprentis ont cette année comme défi de créer un business model pour accélérer la transition environnementale du secteur des transports aériens.
C’est donc naturellement qu’Air France, Grand Partenaire de MBS, a accepté de parrainer la nouvelle édition du Business Game. « Ce projet répond à la fois au besoin d’innover pour accélérer la transition écologique, mais aussi à l’envie de l’entreprise de poursuivre les interactions de proximité avec l’école et les étudiants dans une période où le distanciel est privilégié pour des raisons sanitaires. » témoigne Vincent Etchebehere, Directeur du développement durable et des nouvelles mobilités chez Air France.
Enseignant-Chercheur spécialiste du secteur et titulaire de la Chaire Pégase, Dr. Paul Chiambaretto rappelle l’enjeu pédagogique de l’exercice : « A l’issu de cette semaine, les étudiants devront prouver que leur idée a bien un marché, qu’elle est faisable et viable en termes d’impact environnemental, sociétal et financier. Les équipes auront l’opportunité de pitcher devant un jury composé de la Direction d’Air France et des experts de MBS, avec notamment Anne Rigail, Directrice Générale d’Air France et de Anne-Sophie Le Lay, Secrétaire générale d’Air France KLM.”
Les enjeux environnementaux au cœur de la problématique
Aujourd’hui, MBS est l’une des Grandes écoles qui déploie le plus grand nombre d’heures d’enseignement sur des problématiques liées à la RSE. « Il est important de saisir l’opportunité que représente la Start-up Week pour solliciter de manière 360° les compétences et l’appétence qu’ont développées les étudiants à imaginer des solutions écologiques et durables. » précise Dr. Annabelle Jaouen.
« Dans le cas du transport aérien, nous faisons face à une situation d’urgence climatique. Entre 2005 et 2050, la feuille de route prévoyait une diminution des émissions de CO2 du secteur de moitié. En 2019, on constate finalement au niveau mondial une augmentation de ces émissions par rapport à 2005 de 40%, ce qui rend l’objectif de 2050 encore plus difficile à atteindre. Pourtant nous avons le devoir de repenser les modèles afin de limiter la crise climatique, adopter une trajectoire de décarbonation et permettre à toute la communauté Air France de contribuer à cette lutte. » conclut Vincent Etchebehere.
Une nouvelle association pour permettre aux étudiants de s’impliquer dans la lutte et disposer d’une cellule d’écoute alternative
Pour faire face aux risques en lien avec le sexisme et les discriminations, MBS met à la disposition de ses étudiants et de ses collaborateurs la plateforme Wethics, une cellule d’écoute et d’information. Grâce à ce partenariat, les étudiants et les collaborateurs de MBS, victimes ou témoins d’actes ou de comportements portant atteinte à l’intégrité ou aux droits des personnes, se voient apporter une aide indépendante d’experts dans les 12 heures et orienter vers un dispositif de soutien psychologique.
Même si la plateforme est soumise à une déontologie stricte en matière de secret professionnel et de protection des victimes, un étudiant victime ou témoin d’un acte discriminatoire ou violent peut préférer échanger d’abord avec l’un de ses pairs. « La création de l’association Care About Us est motivée par la volonté d’offrir une autre porte ouverte aux potentielles victimes. Certains étudiants peuvent se sentir plus à l’aise à exposer leur problème à quelqu’un qui possède le même statut qu’eux, plutôt que d’en parler directement à un avocat, un psychologue ou un membre de l’administration. » explique Shana Krief, Présidente de l’association.
Informer, sensibiliser et accompagner les étudiants sur 4 grands axes
Collaborant avec plusieurs associations spécialisées de Montpellier, le but de la nouvelle association de MBS, Care About Us, est d’informer et de sensibiliser les étudiants sur 4 grands thèmes clés :
La lutte contre le sexisme et les agressions sexuelles
La lutte contre les discriminations
La lutte contre le harcèlement et le cyberharcèlement
La lutte contre les comportements à risques
« Pour accomplir notre mission, nous proposons des campagnes de prévention, des témoignages, des formations, des partages de contenus littéraires et cinématographiques et mettrons en place des groupes de parole. En parallèle, nous comptons organiser un centre d’écoute pour les étudiants avec des permanences durant lesquelles ils seront libres de se confier. L’objectif est de lutter contre l’isolement des victimes et de pouvoir les aider à trouver des associations ou des professionnels adaptés à leurs problèmes s’ils en ressentent le besoin. » conclut Shana.
C’est la journée internationale de la générosité ! La Fondation MBS pour l’égalité des chances vous propose de participer à la politique sociale de l’École grâce à sa « Bourse des Collaborateurs » et d’aider un(e) étudiant(e) méritant(e) connaissant des difficultés financières.
Rassembler les étudiants pour renforcer l’impact de leurs actions
Avec les Rencontres du développement durable, le sustainability lab, ou encore l’adaptation des welcome packs : la rentrée 2020 de MBS concrétisait déjà l’ambition de l’école d’œuvrer pour une transition écologique responsable. Les étudiants décident de prendre part à cet engagement et voient leur association Gaïa rejoindre le REFEDD (Réseau Français Etudiant pour le Développement Durable).
« Ce réseau est une réelle opportunité pour nous d’inscrire les actions de l’association dans un cadre qui dépasse la communauté de MBS. Cette organisation va nous permettre de pouvoir communiquer plus facilement avec d’autres associations étudiantes engagées en France, partager les bonnes pratiques, avoir accès à de nouvelles documentations couvrant l’intégralité des objectifs du développement durable, et gagner en visibilité pour mobiliser davantage de bénévoles sur nos actions. » explique Louise Tastard, Présidente de l’association Gaïa. « Un autre point positif est qu’il s’agit d’un réseau géré par des étudiants pour des étudiants. C’est responsabilisant, fédérateur et cela facilite le dialogue avec nos pairs. » complète-t-elle.
Un plan d’action ambitieux et engagé
En adéquation avec les valeurs de MBS et en collaboration avec le service Diversité et RSE, l’association Gaïa s’engage toute l’année à promouvoir des actions écoresponsables et ludiques à destination des étudiants et les sensibiliser aux enjeux environnementaux et à la transition énergétique. « Cette semaine nous participons à la Semaine étudiante de réduction des déchets. Nous partageons ainsi tous les jours des astuces pour changer les comportements du quotidien et engager les étudiants autour de nouvelles habitudes plus bénéfiques pour l’environnement, parfois même avec des conseils qui sortent de l’ordinaire comme réutiliser l’eau de cuisson du riz pour se laver les cheveux. » témoignage Louise. « Dans les semaines à venir, nous poursuivrons cette première phase digitale de sensibilisation, avec des tips pour organiser les fêtes de manière écoresponsable, puis dès que les conditions sanitaires le permettront, nous organiserons des séances de plogging collectives (ramassage des déchets et course à pied). »
Pilotée par un groupe de 9 étudiants motivés, l’association interviendra sur des forums dédiés aux thématiques environnementales et contribuera aux actions stratégiques de l’école. « Nous souhaitons solliciter leur expertise et leur engagement à l’élaboration du nouveau bilan carbone de MBS et ainsi les inviter à prendre part au plan stratégique 2020-2025 en proposant de nouvelles initiatives visant à améliorer la gestion écologique du campus » conclut Amélie Dubreuil, Assistante Développement Durable au sein de MBS.
Les Rencontres du Développement Durable sont l’occasion pour les citoyens de débattre avec tous les décideurs et experts de la transition écologique et solidaire.
MBS coorganisait cette année les Rencontres du Développement Durable le 22 septembre dernier et marquait le point de départ de ces journées en axant les débats autour du thème majeur « Transformer le capitalisme ». « La réussite d’une transformation responsable et durable de l’économie repose sur un échange démocratique. En tant qu’école inclusive et engagée, MBS est très fière de coorganiser cette agora du changement. » annonce Bruno Ducasse, Directeur général de MBS.
100 000€ de fonds de solidarité, report de paiement, cellules d’écoute et rencontres avec le Directeur Général : depuis le reconfinement, Montpellier Business School multiplie les initiatives envers les étudiants en difficulté et leurs familles, en parallèle d’un investissement conséquent pour proposer un enseignement distanciel de qualité.
Mise en place d’un nouveau fonds de solidarité de 100 000€
Alors que le reconfinement fait ressurgir un risque financier chez les étudiants, ce nouveau fonds de solidarité Covid-19 vient renforcer le dispositif de bourses supplémentaires mis en place en avril dernier et la politique sociale de MBS, qui a d’ores et déjà investi plus de 15 millions d’euros d’aides directes en 10 ans.
« Le confinement impacte directement les revenus de certains étudiants et de leurs familles. Face à ces difficultés exceptionnelles, MBS est solidaire et débloque un nouveau fonds de solidarité de 100 000 € pour venir en aide aux étudiants les plus en difficulté. Une commission extraordinaire se tiendra tous les quinze jours afin d’étudier toutes les demandes en urgence », explique Bruno Ducasse, directeur général de MBS.
Si vous souhaitez nous faire part de votre situation et peut-être bénéficier de ce fonds de solidarité, contactez-nous à l’adresse mail suivante : dossier.social@Montpellier-BS.com
Frais de scolarité : report de la mensualité de décembre
En complément, MBS a décidé de proposer aux familles en difficulté un report du paiement de la mensualité des frais de scolarité du mois de décembre. Ce dispositif exceptionnel vient compléter les aides du comité social de MBS qui se réunit tous les deux mois pour intervenir sur les droits de scolarité (reports, prêts, bourses).
André Deljarry, président de MBS est formel : « La crise économique n’hypothèquera pas l’avenir de nos étudiants ».
L’intégralité des équipes mobilisée pour un enseignement à distance de qualité
Conformément aux mesures imposées par le ministère de l’Enseignement Supérieur, de la Recherche et de l’Innovation (MESRI) en réponse à l’évolution de la crise sanitaire, MBS poursuit pour l’instant l’intégralité de ses enseignements à distance, avec des séances interactives en direct sur la plateforme LINC (Live INteractive Classroom).
L’école, qui a lourdement investi dans de nouveaux équipements et licences informatiques et mis en place des formations pour l’ensemble de son corps professoral, mobilise l’intégralité de ses équipes pédagogiques afin de maintenir un contact régulier avec les étudiants et organise des cellules d’écoute pour recenser les éventuelles difficultés d’accès aux enseignements en ligne.
En complément de ce suivi, le directeur général, Bruno Ducasse, s’entretiendra directement avec les délégués de chaque promotion dans les prochains jours pour continuer d’adapter au mieux les dispositifs aux besoins des étudiants.