Initiative étudiante : Matteo imagine avec trois camarades « 1 jour 1 Start-up », un concept éditorial qui stimule la créativité et l’envie d’entreprendre

Une idée provoquée par l’intégration de l’incubateur

Après deux ans de classes préparatoires littéraires, Matteo rejoint la première année du Programme Grande Ecole en 2019. « J’ai toujours été passionné par les histoires entrepreneuriales, le fait de partir de 0 et d’avoir la possibilité de tout imaginer et tout créer. A l’époque, comme beaucoup d’étudiants de l’école, je consommais des podcasts sur le sujet comme Koudetat ou Nouvelle Ecole. Entre ça et les cours, j’avais fini par repérer une opportunité de marché et j’ai donc rejoint l’incubateur dès ma première année » explique Matteo.

A l’issue de cette première année, Matteo opte pour une année de césure et choisit finalement de renoncer au projet incubé. « L’idée ne me passionnait pas, j’avais juste repéré une opportunité et lorsque l’on créé seul son entreprise, on s’épuise vite. Je décide alors d’abandonner ce projet. Mais au contact des start-up, de l’incubateur et des entrepreneurs, j’ai eu envie de poursuivre l’aventure sous une autre forme et de cette fois-ci ne pas être seul dans le projet, c’est ainsi que le concept 1 jour 1 Start-Up  est né  » témoigne l’étudiant.

Alimenter la créativité et donner de la visibilité à celles et ceux qui se lancent dans l’aventure entrepreneuriale

Depuis début janvier, Mattéo coanime « 1 jour 1 start-up », un média gratuit qui présente du lundi au vendredi une start-up qui bouscule son marché. « Nous avons créé ce concept avec trois amis. Nous étudions chacun dans un domaine différent : le droit, la communication, les sciences politiques et le management, et ensemble nous mutualisons nos compétences et produisons sur Linkedin et par mail des contenus pour faire découvrir les start-ups, leur concept et leurs projets » explique Mattéo.

La création de ce média est motivée par l’ambition de créer des vocations et d’ouvrir le champ des possibles dans un période où la crise a pu atteindre le moral de certains étudiants. « Sous un format « chronique », l’idée est d’adopter une approche pragmatique pour désacraliser l’entrepreneuriat, stimuler l’imagination, et partager les bonnes pratiques pour enfin se lancer. Nous avons alors construit notre calendrier éditorial pour présenter un large panel de start-up selon plusieurs catégories : les licornes, les start-up au service d’autres start-up, les start-up responsables et enfin les start-up créées par de très jeunes entrepreneurs. » conclut Matteo.

Pour suivre leur aventure, rendez-vous sur leur page Linkedin.

L’équipe est également disponible sur instagram.